
Ça commence à se savoir : ma conception de l'équitation est d'abord sentimentale.
Alors par "sentimentale" j'entends pas bisounours gnan-gnan. Non, je recherche quelque chose qu'un J-C Barrey appellerait "isopraxie", une Sally Swift "équitation centrée", mon ancien enseignant "le sentiment de la fesse". L'accord des centres de gravité du cavalier et du cheval via la posture et la respiration vient avant toutes les autres techniques. La technique est importante, mais un cavalier technique sans sentiment, ça se voit, et bof, c'est...
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